1. Cuisinez plus

C’est le meilleur moyen de manger des produits frais et de contrôler son équilibre alimentaire. Cuisiner rien qu’une demi-heure permet de se vider la tête après une journée de travail. C’est par ailleurs économique (par rapport aux plats préparés) et écologique (si l’on mange des produits de saison, ils sont à peu près locaux donc leur bilan carbone est raisonnable). Commandez moins ! Citadins, limitez les livraisons à la maison à une fois par semaine.

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2. Mangez avec plaisir

N’associez rien d’autre à la nourriture – même s’il s’agit avant tout d’une nécessité – : pas l’ennui, ni le mérite, ni la culpabilité. Éduquez votre corps et comprenez-le : retrouvez la sensation de satiété (en mangeant lentement) et lorsque vous pensez que votre estomac crie famine, commencez par boire : les signaux de la déshydratation et de la faim sont les mêmes.

3. Favorisez plus de fruits et de légumes frais 

Les pâtes, le riz et les patates, pour importants qu’ils soient, ne sont pas des légumes. Cuisiner des produits de saison vous permettra aussi de varier vos repas. Faites des listes de courses qui prennent en compte vos envies et votre planning. Dans le même esprit, limitez la viande à 300/400gr. par semaine, à moins que vous soyez sportif ; les fritures à une fois par semaine ; les œufs à quatre unités par semaine (hors pâtisserie). Essayez aussi de manger davantage de protéines végétales.

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4. Déshabituez-vous aux sucres

Sortez de votre vie les sodas et boissons amusantes à l’impact environnemental contestable (il faut dix litres d’eau pour aboutir à un litre de cola). Ne comptez pas les calories que vous ingurgitez : ça n’a pas beaucoup de sens et par ailleurs, elles ne se valent pas toutes. La publicité a beau vous vanter une célèbre barre chocolatée comportant la même quantité de calories qu’une pomme, elle ne vous précise pas qu’il s’agit de « calories vides », qui n’apportent ni vitamines, ni minéraux, ni nutriments. Juste des sucres rapides à intérêt relatif (la crise d’hypoglycémie, tout au plus).

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5. « Que ton alimentation soit ta première médecine » 

Ça ne date pas d’hier et ce n’est pas moi qui le dis, mais Hippocrate, le père de la médecine, au cinquième siècle avant notre ère ! Ça veut dire qu’il faut réfléchir dans la durée parce qu’à la longue, tout ce qu’on ingère à une incidence sur notre bien-être. Voilà notamment ce qui explique depuis quelques années un retour à l’allègement dans l’assiette en passant par la modération en gras ou en sucre, mais aussi… en régimes ! Si vous devez maigrir pour des raisons médicales, voyez cela avec un médecin qui saura vous orienter au mieux. Sinon, il y a plein de façons de compléter une alimentation saine et de redonner du sens nutritionnel à vos repas : ainsi le retour en force des boissons et aliments fermentés, des graines aux propriétés satiétogènes ou laxatives, ou des compléments alimentaires à prendre en cures courtes pour se combiner à une alimentation équilibrée. Et ce n’est pas pour rien qu’on appelle les intestins le « deuxième cerveau », car il est prouvé désormais qu’il communique avec le premier : conclusion, si c’est bon pour le ventre, c’est bon pour la tête ! Rééquilibrer son alimentation est un bon point de départ pour combattre certains signes du stress, de l’anxiété ou de la dépression saisonnière.

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